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Oméga 3 et DHA

Acide gras essentiel de microalgue, 200 mg d’Oméga 3 DHA végétal. Le DHA est déjà formé et non pas simple précurseur.

Huile d’algue non OGM, stabilisée contre la péroxydation par tocophérols naturels (vitamine E), extraite à froid, sans solvant; cultivée en eau de qualité contrôlée.

La souche d’algue sélectionnée (aliment à l’origine du DHA des espèces marines) est cultivée en eau de qualité contrôlée, sans iode.

 

 

Dose journalière d’Oméga 3 essentiel : étudiant, adulte, séniors, femme enceinte, fœtus, nourrisson, enfant, végétalien, végétarien.
Composant des membranes cellulaires : cœur, cerveau, nerfs, rétine de l’adulte comme du fœtus

  • Fonctionnement normal du cerveau
  • Mémoire, concentration, stress
  • Santé de l’œil (rétine)
  • Santé de la mère, du fœtus et bébé : œil, cerveau…

Les Oméga 3 sont des acides gras polyinsaturés. Au même titre que les vitamines et les minéraux, ce sont des éléments vitaux pour l’organisme de l’adulte et de l’enfant.

Notre mode de vie et d’alimentation engendre des carences officiellement reconnues en acides gras Oméga 3 ainsi qu’en anti oxydants.

Les conséquences sont multiples puisque ces acides gras sont qualifiés d’essentiels :

  • les Oméga 3, indispensables constituants des cellules, modulent en effet pléthore de phénomènes …
  • les Oméga 3 DHA favorisent notamment le développement du cerveau ;l’oméga 3 de type DHA est un nutriment tout aussi incontournable pour le fœtus et pour le développement du nouveau -né

Pourtant le corps ne peut produire d’emblée cet Omega 3 préformé de type DHA, l’alimentation doit le lui apporter; mais le rapport de l’ANSES sur les acides gras (« actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras. ANSES. Mai 2011) indique que dans les pays industrialisés la consommation des acides gras polyinsaturés Oméga 3 (AGPI oméga 3) est inférieure aux apports conseillés, y compris chez les enfants et adolescents.

Notre alimentation occidentale est non seulement moins riche en acides gras polyinsaturés mais en effet également totalement déséquilibrée par une carence en acide gras oméga 3. Le rapport oméga3/oméga6 est proche de 20.

Ce déséquilibre entraîne des effets considérables sur notre métabolisme. Outre leur fonction énergétique, les lipides sont les constituants majeurs des membranes cellulaires et les précurseurs de nombreuses hormones. Le déséquilibre oméga3/oméga6 modifie la composition de nos membranes et nos taux hormonaux.
Les acides gras Oméga 6 servent notamment à produire des eicosanoïdes (prostaglandines et leucotriènes principalement), qui sont des messagers cellulaires aux effets vasoconstricteurs et pro-inflammatoires. En revanche, les Oméga 3 entraînent la libération, à l’issue d’une cascade de réactions, de substances anti-inflammatoires. Mais les enzymes utilisées par les Oméga 3 et les Oméga 6 sont les mêmes. Il y a ainsi compétition entre les deux acides gras. Résultat : la présence en excès des Oméga 6 (que l’on trouve très facilement dans l’alimentation) va “étouffer“ les bénéfices des précurseurs d’ Oméga 3 (ALA : acide alpha linolénique. Ce qui explique que les autorité de santé aient recommandé de revenir à un rapport oméga 6 sur oméga 3 égal à 5, pour une régulation favorable des réponses inflammatoires et immunitaires.

Certaines huiles alimentaires (huile de lin, de noix, de chanvre, chia…) sont certes riches en l’ALA : l’acide gras alpha-linolénique – qui est à la base la matière première ‘chef de file des oméga 3’ car le corps en santé devrait pouvoir convertir l’ALA en l’indispensable DHA (acide docosahexaénoïque) par une cascade de réactions faisant intervenir les élongases … les enzymes Delta 6…Delta 5… entre autre, afin que l’alpha-linoléique puisse donner de l’acide eicosapentaénoïque (EPA, 20:5), lequel peut donner à son tour de l’acide docosahexaénoïque (DHA, 22:6); hélas les études scientifiques ont prouvé que pour ce qui est de la conversion de l’acide gras ‘normalement’ précurseur -l’ALA- l’organisme ne peut le convertir en EPA qu’à hauteur de 10 % si il dispose encore des enzymes (Delta 6 désaturés et des élongases) nécessaires pour l’opération et à hauteur de 1% pour le DHA qui est encore plus crucial que l’EPA au vu des récentes études cliniques.

alpha-Linolenic acid supplementation and conversion to n-3 long-chain polyunsaturated fatty acids in humans.»[Prostaglandins Leukot Essent Fatty Acids. 2009 Feb-Mar]

Le DHA peut également être reconverti en partie en EPA si l’organisme en a besoin
source http://www.drsears.com/ArticlePreview/tabid/399/itemid/66/Default.aspx)

Notre complément alimentaire Omégalgue n’apporte donc pas d’EPA car le corps sait le synthétiser à partir du DHA  si et seulement si il en a besoin.

L’apport en EPA en supplementation directe peut interférer avec par exemple le métabolisme de l’acide arachidonique indispensable au fœtus. L’ALA ainsi que l’EPA étant tous deux insuffisants pour fournir le bon statut en DHA à l’organisme, l’apport en Oméga 3 DHA est très important. Parmi les Oméga 3 essentiels, le DHA occupe des fonctions bénéfiques bien spécifiques.

Le DHA (Acide docosahexaénoïque) fait d’ailleurs l’objet d’allégations santé :

  • contribue au fonctionnement normal du cerveau¹, favorisant un bon équilibre nerveux.
  • il aide également au maintien d’une bonne vision¹.
  • ce dernier a aussi démontré ses bienfaits dans le développement et la santé infantiles : la consommation de DHA par la mère contribue au développement normal du cerveau et des yeux du fœtus et de l’enfant allaité².
  • le DHA et l’EPA sont impliqués dans l’équilibre cardio-vasculaire car ils contribuent à une fonction cardiaque normale3.

¹ L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 250 mg de DHA. (Acide docosahexaénoïque).(UE  n°432/2012)

² L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 200 mg de DHA, en plus de la consommation journalière d’acides gras Oméga 3 recommandée pour les adultes, soit 250 mg de DHA et d’acide eicosapentaénoïque (EPA).

³ L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 250 mg d’EPA et de DHA. (UE n°432/2012).

L’ apport de  DHA se révèle donc incontournable.

Encore faut il que cet Oméga 3 soit pur, non pollué (sous produits animaux et leurs toxines, métaux lourds…allergènes…irradiation…OGM…) et non dénaturé (par des modes d’extraction violents ou des tentatives de dépollution altérants les acides gras).

Ainsi le DHA de notre complément alimentaire Omégalgue provient de source pure, non allergisante, naturelle et végétale, durable et renouvelable : une algue d’eau douce cultivée en eau de qualité contrôlée.

Les informations présentes sur le site ne constituent pas des avis médicaux et ne sauraient engager la responsabilité du site ou de ses rédacteurs. Les compléments alimentaires ne doivent pas se substituer à une prise en charge médicale ni à un régime alimentaire varié, équilibré et à un mode de vie sain. Ils doivent être tenus hors de portée des enfants. Toujours prendre un avis médical, surtout pendant la grossesse. Les ingrédients étant naturels, les teneurs en nutriments annoncées (vitamines, oligo-éléments, polyphénols) peuvent varier légèrement. Ne pas consommer en cas d’allergie à l’un des composants ou en cas d’obstruction des voies biliaires.